MUSÉUM NATIONAL D’HISTOIRE NATURELLE
Le Muséum est un centre scientifique d’excellence étudiant la Terre et le Vivant depuis les périodes les plus reculées du passé jusqu’à aujourd’hui, en interrogeant notre devenir. Il partage ainsi les savoirs tout en œuvrant à la conservation de la biodiversité et des patrimoines, qu’ils soient naturels ou culturels. Environ 2 500 collaborateurs, chercheurs, soigneurs, bibliothécaires, taxidermistes, chargés de collections, ingénieurs, vétérinaires, muséologues… s’y attellent sans relâche dans les murs et sur le terrain.
Centre d’expertise et de données sur le Patrimoine Naturel (PatriNat)
Asma Steinhausser, coordinatrice du programme
PatriNat (UAR CNRS 2006) assure des missions d’expertise et de gestion des connaissances sur la biodiversité et la géodiversité pour ses quatre tutelles que sont l’Office français de la biodiversité (OFB), le Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN), le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) et l’Institut pour la recherche et le développement (IRD).
Institut de Minéralogie, de Physique des Matériaux et de Cosmochimie (IMPMC)
Brigitte Zanda, responsable scientifique du programme
L’Institut de Minéralogie, de Physique des Matériaux et de Cosmochimie (IMPMC – UMR CNRS 7590) est un institut pluridisciplinaire de physique, de sciences de la Terre et de biophysique-bioinformatique, installé au cœur de Paris au sein de Sorbonne Université et du Muséum National d’Histoire Naturelle.
Laboratoire de recherche historique en minéralogie, physique et sciences des matériaux, sa stratégie de recherche est articulée sur des projets ambitieux en physique de la matière condensée, en sciences de la Terre au sens large et en biologie, les trois composantes fondamentales de l’unité. La recherche y est organisée en onze équipes thématiques qui s’appuient sur la « cellule projet », en charge des développements techniques et instrumentaux, et sur plusieurs « plateformes expérimentales ». Une place importante est également faite à l’utilisation et au développement d’instrumentation sur grands instruments (sources synchrotron ou XFEL, sources de neutrons ou installations laser pour des expériences de compression dynamique).
L’Institut héberge enfin la collection de Minéraux de Sorbonne Université (campus Pierre et Marie Curie) et est lié aux collections de géologie (Minéraux, Roches, Météorites) du Muséum National d’Histoire Naturelle.
OBSERVATOIRE DE PARIS – PSL
L’Observatoire de Paris-PSL est un établissement public en charge de missions de recherche fondamentale et appliquée, d’enseignement supérieur et de partage des savoirs dans les disciplines liées aux sciences de l’univers et à l’astronomie.
L’Observatoire de Paris-PSL se compose de 800 chercheurs, ingénieurs et personnels administratifs et techniques qui contribuent aux études théoriques, à l’innovation instrumentale et aux services d’observations pour les grands télescopes terrestres, la métrologie et les missions spatiales. Fort de son expertise, l’Observatoire de Paris-PSL collabore avec les acteurs principaux de l’astronomie à l’échelle internationale.
L’Observatoire de Paris-PSL propose des enseignements au plus près de la recherche de la licence au doctorat, des diplômes d’université et des formations pour les enseignants. Très impliqué dans le partage des savoirs, l’établissement propose notamment des ressources pédagogiques pour tous niveaux et âges (parrainage de classe, expositions, supports numériques, etc) et participe à de nombreuses manifestations (Fête de la Science, etc).
Fondé en 1667, l’Observatoire de Paris-PSL se déploie sur trois sites (Paris, Meudon, Nançay). Ce grand établissement du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche se structure en départements et services scientifiques, liés au CNRS et aux grandes universités françaises.
Laboratoire Temps-Espace (LTE)
François Colas, responsable du programme FRIPON
Jérémie Vaubaillon
Auriane Egal (Planétarium Espace pour la vie Montréal)
Mirel Birlan (Astronomical Institute of the Romanian Academy)
Anciens membres :
Simon Jeanne
Le Laboratoire Temps Espace (LTE – UMR CNRS 8068) est un laboratoire pluridisciplinaire dont les domaines de compétences concernent les thématiques du temps, de l’espace et de l’histoire des sciences. Il est responsable des deux missions sociétales confiées par l’État à l’Observatoire de Paris :
1/ la conception et de la diffusion du temps légal français,
2/ l’élaboration et la diffusion des éphémérides des corps du Système solaire.
Pour réaliser ses missions, le LTE s’appuie sur deux services dédiés, chacun chargé de mettre en œuvre la recherche et les technologies associées afin de remplir leurs objectifs : le LNE-OP, chargé de la partie temps légal français et le SE-OP (Service Espace), chargé de la partie éphémérides.
UNIVERSITÉ DE PARIS-SACLAY
Située au Sud de Paris, au cœur d’un vaste territoire, composé de quatre départements franciliens et de nombreux sites stratégiques (Courtabœuf, Évry, Massy, Orsay, Saclay, Saint-Quentin-en-Yvelines, Vélizy et la vallée de la Bièvre), l’Université Paris-Saclay est un maillage unique de 5 facultés, 3 IUT, 5 grandes écoles, 2 universités membres associés et 7 organismes de recherche, réunis autour d’une ambition commune, celle d’associer leurs forces pour constituer un cluster scientifique de premier plan au service de la recherche, de la formation, de la réussite étudiante et de l’innovation, avec l’ambition de contribuer au développement d’une société plus juste et plus vivable. 1ère université française et dans le top 20 mondial, l’Université Paris-Saclay couvre les secteurs des sciences et ingénierie, des sciences de la vie et de la santé, et des sciences humaines et sociales.
Laboratoire Géosciences Paris-Saclay (GEOPS)
Sylvain Bouley, référent scientifique du programme
Anciens membres :
Chiara Marmo
Yoann Audureau
Le Laboratoire Géosciences Paris-Saclay (GEOPS) est une unité mixte de recherche (UMR 8148) entre le CNRS et l’Université Paris-Saclay. GEOPS est membre de l’OSU Paris-Saclay (OSUPS) et de la Fédération de recherche de l’Institut Pierre Simon Laplace (IPSL).
Les recherches menées à GEOPS (UMR CNRS-Université Paris Saclay, http://geops.geol.u-psud.fr) sont fortement ancrées sur plusieurs enjeux sociétaux importants tels que (1) le traçage de l’évolution du cycle continental de l’eau sous contraintes anthropiques et climatiques, dans le cadre de la protection et de la gestion durable des écosystèmes et des ressources en eau ; (2) la compréhension de la dynamique des climats passés et les impacts du réchauffement anthropique sur les régions vulnérables notamment les milieux arctiques ; (3) les interactions subsurface-atmosphère-volcanisme (sur Terre ou sur Mars) et les risques associés (risques volcaniques, tsunamis…) ; (4) la compréhension de la distribution de l’hétérogénéité du sous-sol indispensable pour son exploitation (géothermie, stockage, réservoirs souterrains, …) et son aménagement (notamment au niveau des centres urbains) (5) la chronologie et compréhension des changements culturels, climatiques et environnementaux opérés au cours du Pléistocène.
GEOPS a une forte composante analytique orientée vers l’utilisation de géotraceurs, de méthodes de datation, de méthodes géophysiques et de modélisations analogiques et numériques permettant de mener une recherche sur la caractérisation, le traçage, la dynamique et la modélisation des interactions existantes dans de nombreux environnements de surface ou leurs reconstitutions dans le passé à différentes échelles de temps. Les chercheurs de GEOPS utilisent des données de spectro-imagerie spatiale des planètes faisant appel à des traitements numériques et mettent également en œuvre de très nombreuses campagnes de terrain à terre et missions océanographiques.
AIX-MARSEILLE UNIVERSITÉ
Première université française avec plus de 80 000 étudiants et 8 000 personnels, Aix Marseille Université délivre près de 1 100 diplômes au sein de ses 17 facultés, écoles et instituts de formation répartis sur 5 campus aux standards internationaux. Reconnue pour son excellence scientifique, elle figure dans le TOP 5 des universités françaises au classement de Shanghai.
Bénéficiant d’un maillage territorial unique à travers ses 54 sites implantés sur 4 départements et 10 villes (dont une antenne à Wuhan, Chine), elle est un atout considérable pour le développement économique du territoire.
Dans un monde en constante évolution, marqué par des défis majeurs, amU s’engage pleinement dans sa mission : accompagner les réussites collectives et individuelles qui font avancer la société.
Observatoire des Sciences de l’Univers Institut Pythéas
Adrien Malgoyre
Julien Lecubin
Cyrille Blanpain
L’OSU Institut Pythéas, placé sous la tutelle du CNRS, de l’IRD et de l’INRAE, est une école interne d’Aix-Marseille Université (AMU) couvrant les grandes thématiques scientifiques des sciences de la Terre, de l’Environnement et de l’Univers.
Laboratoire d’Astrophysique de Marseille
Pierre Vernazza, spécialiste des petits corps du Système solaire
Le Laboratoire d’Astrophysique de Marseille (LAM – UMR 7326) est l’un des plus grands laboratoire d’astrophysique en France. Ses équipes de recherches étudient l’univers et son évolution dans toutes ses thématiques (système solaire, exoplanètes, étoiles, galaxies et cosmologie). Le LAM est aussi doté de moyens lui permettant de participer à l’élaboration et la construction de l’instrumentation pour les très grands observatoires terrestre et pour les missions d’observations spatiales.
Centre européen de Recherche et d’Enseignement des Géosciences de l’Environnement
Jérôme Gattacceca
Centre de Recherche et d’enseignement multidisciplinaire international, le CEREGE (UMR CNRS 7330) couvre quasiment l’ensemble des Géosciences de l’Environnement, avec un objectif : étudier la dynamique des processus environnementaux et leurs perturbations sous contrainte naturelles ou anthropiques.
« Le CEREGE, avec 278 personnels, dont 138 permanents, est une unité de recherche majeure dans le paysage scientifique français. » HCERES 2023
Pôle d’excellence de par ses compétences humaines et ses capacités instrumentales, les recherches du CEREGE s’appuient sur des laboratoires et plateformes analytiques, des collaborations inter-équipes et un large réseau de collaborations nationales et internationales. Les équipes-thématiques s’appuient sur des laboratoires de pointe, un champ d’expertise multiple et complémentaire, alliant techniques de l’observation du terrain à l’expérimentation analytique et la modélisation numérique.
INSTITUT DE RECHERCHE POUR LE DÉVELOPPEMENT
Établissement public à caractère scientifique et technologique (EPST), l’Institut de recherche pour le développement (IRD) est placé sous la double tutelle du ministère chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et de celui chargé des Affaires Étrangères.
Créé en 1944, l’Institut a célébré ses 80 ans en 2024. Depuis 2008, son siège se situe à Marseille, en France.
L’IRD est présent en France hexagonale, dans les Outre-mer, auprès des organisations internationales et européennes à Bruxelles ainsi qu’en Afrique, en Amérique latine, en Asie, et dans le Pacifique. Il s’appuie sur un réseau de 34 représentants pour organiser ses collaborations.
Par son réseau et sa présence dans plus de 50 pays, l’IRD contribue à renforcer la résilience des sociétés face aux bouleversements globaux.
L’IRD défend une recherche qui bénéficie au plus grand nombre. Il partage les résultats de ses projets et met la science au service de l’action. Il accompagne ainsi la transformation des sociétés vers des modèles sociaux, économiques et écologiques plus justes et durables.
Géosciences Environnement Toulouse (GET)
David Baratoux
Laboratoire de recherche pluri- et inter-disciplinaire en Sciences de la Terre et de l’Environnement rattaché à l’Observatoire Midi-Pyrénées (OSU OMP), le GET (UMR 5563 CNRS / UR 234 IRD / UM 97 UT / CNES) regroupe à ce jour un effectif de 226 personnes, incluant 156 permanents et plus de 70 doctorants et chercheurs CDD. Le GET est implanté sur le Complexe Scientifique de Toulouse Rangueil intégrant l’Université de Toulouse, l’Observatoire Midi-Pyrénées, des Organismes Nationaux de Recherche (dont CNES, ONERA, Délégation Régionale CNRS,…) et des écoles supérieures nationales (dont SUPAREO, ENAC,…), et de nombreuses Unités Mixtes de Recherche. Le GET est également une unité affiliée à l’Institut Carnot ISIFoR (Ingénierie durable des géoressources).
Le GET développe des recherches sur de grands domaines et enjeux scientifiques concernant l’évolution et la dynamique terrestre, les environnements et climats actuels et passés, les Interactions Environnement- Société ainsi que sur le développement et la mise à disposition auprès de la communauté scientifique, d’Observations, de données et modèles pour les géosciences et l’Environnement. L’un des atouts du GET est sa capacité à mettre en œuvre une approche pluridisciplinaire incluant de nombreuses disciplines des sciences de le Terre et de l’Environnement (géologie, géochimie, géophysique, géodésie, hydrologie, pédologie), complétée par des approches de géographie et de sociologie. Nos recherches conduites à travers 7 équipes de recherche mettent en œuvre des compétences complémentaires en observation spatiale et in situ, en modélisation numérique et analogique et en expérimentation de laboratoire, structurées en 3 pôles techniques.
Le GET est équipé d’un important parc analytique et instrumental réparti dans 25 services et plateformes regroupés en 3 pôles techniques (Géochimie et Expérimentation ; Géophysique et Positionnement, Pétrologie et Minéralogie) et services transverses soutenant les activités de recherche conduites par l’unité.
UNIVERSITÉ GRENOBLE ALPES
Observatoire des Sciences de l’Univers de Grenoble
Eric Lewin
Pierre Beck
L’Observatoire des Sciences de l’Univers de Grenoble est une structure fédérative assurant des missions d’observation, de recherche, de formation et de diffusion des savoirs. La fédération OSUG rassemble actuellement plus de 1400 membres, au sein de 8 unités, 5 équipes de recherche et 2 unités d’appui et de recherche, sous multi-tutelles sur les campus de Grenoble et Chambéry. L’OSUG œuvre dans tous des domaines des Sciences de l’Univers, de la Terre et de l’Environnement –de l’écologie alpine à l’astronomie en passant par la géophysique, l’hydrologie, la glaciologie et les sciences humaines (géographie, sociologie).
Les graphistes et illustratrices
Marie Aubry et Elodie Rivalan « La Comète » https://lacomete.jimdofree.com/
Eve Barlier : https://evebarlier.tumblr.com/about
